Viviane Armand-Gerson

Suissesse, originaire de Lyon France,  j'ai toujours eu envie d'être psychologue, puis après mes études à l'Université de Genève oú j'ai obtenu ma licence et mon diplôme en psychologie clinique, et  ma formation psychothérapeutique dans les IUPG (Institutions psychiatrique de Genève),  j'ai commencé une formation analytique. 

Tout d'abord, j'ai fait une thérapie avec un formateur de l'Institut Jung , puis j'ai  entrepris une psychanalyse freudienne de longue durée, suivie d'une formation à la Société suisse de psychanalyse,  qui m'a permis de devenir membre associée de la SSPsa. 

Par ailleurs, j'ai effectué au cours de ma carrière, des stages à Belle Idée, dans l'Unité de sexologie des IUPG avec les professeurs G. Abraham et W. Pasini. Sans oublier ma formation à Paris en psychosomatique, je suis membre du Centre International de Psychosomatique, fondé par le Professeur Sami Ali.

Forte de cette formation, et ayant la pratique des langues : anglais et espagnol, j'ai une grande expérience avec les patients fonctionnaires internationaux venant du monde entier. 
C'est ainsi que j'ai acquis une excellente connaissances des problématiques liées à l'exil avec son cortège de dépression, aux différences culturelles, à la solitude liée au départ du pays natal.

Ma longue carrière, me permet de garder un oeil psychanalytique sur la personne, quel que soit le cadre thérapeutique choisi. C'est ma boussole de travail. 
En outre, l'expérience m'a montrée que malgré les différences culturelles, tous les êtres humains sont semblables et aspirent à être respectés et aimés dans leur singularité. 
C'est pourquoi, c'est leur réalité psychique qui m'intéresse en premier lieu, c'est à dire, la manière dont ils ont construit leur histoire particulière. C'est ainsi que le tableau qu'il ont peint pourra être retouché ou amélioré afin qu'il soit moins coûteux sur le plan psychique. 

Les gens parfois hésitent à faire un travail psychothérapeutique, car ils restent sur des clichés comme "je ne suis pas fou" ou "je peux me débrouiller seul (e)". N'ayez aucune honte à envisager un travail thérapeutique. Je ne prends pas les malades mentaux, c'est-à dire les psychotiques. Par ailleurs, la confidentialité est le crédo de notre profession.

Si vous avez un problème, une difficulté, un deuil, ou toute autre situation douloureuse et difficile à vivre, n'hésitez pas à me contacter. Je vous rappellerai au plus vite.
Deux séances sont généralement nécessaires avant une décision commune de débuter une psychothérapie.  La première séance, étant une prise de contact, elle est gratuite.